Salon de la sculpture : Hagondange
Le Vernissage de ce salon a été un moment vibrant de chaleur humaine...
C'était une Joie d'être là... présente.
René Wiroth a fait palpiter nos coeurs au son de son violon et de son discours.
Son fils nous a bercé de sa guitare et sa voix.
Je n'avais jamais vécu un vernissage aussi convivial !
Un moment de bonheur partagé.
Merci à lui de me permettre de partager avec vous son témoignage sur l'ART.:
DISCOURS DE RENE WIROTH INVITE D’HONNEUR DU SALON DE LA SCULPTURE D’HAGONDANGE 2010
Remerciements
Monsieur Le maire
Chers responsables de la culture qui n’ont rien épargné que cette journéee soit belle…… pour vous, pour nous
Cher public
Chere Michèle avec laquelle j’ai la chance de partager ma vie
Chers artistes autour de votre œuvre,
Je suis fier de pouvoir être parmi vous et je vous remercie de votre confiance . J’espère être à la hauteur de votre espérance.
Il ny a pas d’artistes sans public ! Comme il n’a pas de pole nord sans pole sud , il ne peut exister de femmes sans hommes, il n’y a que la recherche d’un équilibre dynamisant. Sans ce équilibre il n’y a pas de vie possible. Nous sommes tous dans le même bateau. Pour cette raison faisons attention à la vie.
Lorsque nous parlons de la recherche du bonheur nous ne pouvons nous passer de la création artistique.
Rodin souligne dans son testament aux jeunes artistes, l’importance d’aimer, d’espérer, de frémir, de vivre,
d’être humain avant d’être artiste.
Ainsi l’art deviendrait une magnifique leçon de sincérité.
J’ai constaté, que ceux qui ont œuvré de loin et de prêt au montage de cette exposition, m’ ont permis de vivre de véritables d’échanges fraternels et amicaux, de discussions intéressantes et importantes, de me rendre compte à quel point la compréhension de notre art occidental mondialiste actuel est devenue hermétique pour les non initiés, des critiques d’art et pour beaucoup d’artistes . Je veux parler de ce que nous appelons « art contemporain », dont la plus grosse partie médiatisée, à très grande échelle à ferme de plus en plus pour n’être le plus souvent qu’accessible à quelques spécialistes banquiers ou businessmen, comme si l’art était tombé des mains humains, pour ne paraître que comme ni queux ni tête. Cette partie infime de la finance , qui décide à l’heure qu’il est, s’il y a art ou non , et combien il vaut . Les véritables amateurs d’art n’ont plus les moyens de se payer les œuvres devenant inaccessibles . Les banques achètent et investissent depuis plus de cinquantes ans dans l’art. L’expression « art contemporain » reste très hasardeuse, parce que cet art nous écarte des repaires culturels, qu’il ne fait plus allusion ni à l’homme, ni à son histoire, ni au devenir des humains, ou même le savoir faire n’est plus un critère. Cet art contemporain médiatisé organisé est devenu un Nomansland . Il finit par apparaître au commun des mortels, à nous artistes , comme un jeu de hasard, d’ une stratégie financière. L’art devient de plus en plus une affaire de placement dont quelques critiques en art font la promotion que j’appellerais visionnistes . Une grande partie des oeuvres sont stockées aujourd’hui dans les caves des musées, qui ne savent plus quoi choisir sur le marché de l’art, la qualité et l’avenir en étant très aléatoire, attendant le moment propice pour les montrer au public.
Loin de moi l’idée qu’il faille se laisser enfermer à la nouveauté en se drapant derrière un « De toute façon, je n’y comprends rien ! » ou « L’art s’est de la connerie » . Non, bien sûr, la curiosité, l’ouverture me semble une nécessité absolue. Et la nouveauté est le principe de base de l’art. Et pourtant, je pense que l’art exposé dans une ville en particulier doit susciter une vraie réflexion, un plaisir esthétique, encourager la population dans ses diverses activités aussi. Car je suis persuadé que l’art a ce pouvoir.
J’ai remarqué que la ville de Hagondange va dans ce sens et qu’elle est la première a en profiter. J’ai pu admirer bon nombre de sculptures dans l’espace public de cette ville destinées pour en faire profiter ses habitants, et ceux qui ne font que le traverser. Je dis bien, tous les habitants, enfants, mères avec leur bébé , rentiers, chômeurs, visiteurs comme moi, et pas seulement quelques privilégiés, pour diffuser
l’esprit et les idées de la ville de Hagondange. Quelles sont ces idées ?
Premièrement, le désir de faire de Hagondange une ville accueillante, diversifiée, où il fait bon vivre, dont l’espace transmet la parole des humains. Les sculptures parlent de l’importance des mains et de l’esprit pour le développement de la cité. Qui constitue pour moi le premier critère de la création de beauté.
Il est vrai que chaque sculpture dans le parc de la Ballastière, devant les édifices de la ville interpelle le passant en lui offrant avant d’entrer dans les immeubles administratifs, culturels, sociaux et autres, un dialogue ouvert et généreux à travers les sculptures. Comme un petit salut, qui témoigne d’une présence humaine millénaire, ses monuments dédramatisent le terrain de la violence urbaine. Ce ne sont pas des œuvres qui expriment la modernité aveugle, ce tape à l’oeil qui souvent fait mal parce qu’il casse l’intégrité de la nature et de son entourage, qui crient parce qu’elles ne s’intègrent pas dans le paysage de la ville, et ne sont là que pour témoigner de l’impératif de la modernité.
Tout ce qui est nouveau, et dit « contemporain » n’est pas forcément beau et risque de dénaturer l’environnement au lieu de l’encadrer. Pour qu’une œuvre artistique embellisse l’environnement, il faut impérativement qu’elle se confonde avec le paysage et avec son entourage.
La vraie dimension de l’art n’est pas la contemporanité à tout prix, c’est à dire, ce que les structures financiaires , qui montent en épingle des artistes qui servent passagèrement à leur enrichissement, mais le message qu’elle transmet. Encore faut-il qu’il y ait message et que celui-ci ne soit pas imposé par l’esprit mercantile de quelques structures financières qui veulent s’infiltrer à n’importe quel prix ou n’importe comment , souvent en la dénaturant, mais un message à visage humain.
Ce sont les humains qui créent la richesse d’un pays, en utilisant ce que leur environnement met à leur disposition. C’est pourquoi les habitants ont choisi d’embellir leur ville avec des œuvres d’artistes qui témoignent de la vie d’ici et maintenant, en harmonie avec l’environnement qui est le leur , au lieu d’ y introduire des oeuvres qui nécessiteraient un remaniement en permanance complet de l’entourage pour qu’elles s’intègrent chaque fois et deviennent cohérentes.
Les artistes réunis aujourd’hui autour de leurs sculptures nous montrent leur imagerie personnelle, la diversité de leur savoir faire et de leurs visions. Je leur ai parlé, leur regard était clair, droit et simple. Devant vous ils doutent peut-être de leurs œuvres mais au fond de leur cœur, ils en sont fiers, ne serait-ce que d’avoir vaincu la résistance de la matière, d’avoir su lui imposer le message qu’ils voulaient transmettre. Nous avons parlé et leur message ressemblait au mien. L’œuvre accomplie, existe comme témoignage de leur propre existence et de leur pensée. Ce ne sont plus des mots. L’artiste sait que le mot tue l’action. Le plus souvent l’artiste se tait et réalise pour trouver son équilibre et pouvoir contribuer au rééquilibrage du monde.
De cette manière les artistes participent aux débats sur l’avenir, à grande ou petite échelle. Vous avez pu admirer ces hommes, samedi et dimanche derniers dans le parc en train de travailler, burin en main, travail dans lequel ils ont dû mettre toute leur intelligence et leur sensibilité pour faire sortir ce qui était caché dans la pierre. Il y régnait une ambiance joyeuse et il m’a semblé que ces artistes au travail mettait du bonheur dans la ville par cette journée radieuse. Il n’y a pas assez de bonheur dans nos villes, parce que la tragédie humaine vient du fait que l’argent a pris le dessus sur toute autre valeur humaine, morale, intellectuelle, esthétique. Si l’art est sincère il nous apporte le bonheur ! RAdministrez egardons autour de nous. !
René WIROTH
LE 24 SEPTEMBRE 2010
Suite...
Remerciements
Le maire
Les députées femmes et hommes
Cher public
Chers responsables de la culture qui n’ont rien épargné que cette journéee soit belle……
Chere Michèle avec laquelle j’ai la chance de partager ma vie
Chers artistes autour de votre œuvre,
Je suis fier de pouvoir être parmi vous et je vous remercie de votre confiance . J’espèes d’etre à la hauteur de votre espérance
Il ny a pas d’artistes sans exposition il n’a pas comme il n y a pas de pole nord sans pole sud , il n’a pas de femmes sans hommes ,
L’équilibre ,
(Tout est un tissage merveilleux pour que notre vie reste au centre . En effet il faut qu’il y ait un équilibre.. Nous les artistes savent que notre œuvre tombe si elle n’est plus centrée si le centre est trop déasaxée.
Le message de l’art.
L’art contemporain
L’art appartient aux humains
Les artistes au parc
Je n’ai pas d’ambitions autres que celles de servir ceux dans l’urgence les humains …… et je suis le premier qui en profite …….parce que l’art est un porte bonheur.
Et voici quelques articles :
Hagondange sculpte
De nombreux artistes participeront au 8ème Salon de la
sculpture, dès aujourd'hui èt juscju'au 30 septembre, à la salle
des fêtes d'Hagondange.
C'est le cas de Béatrice Allard, une plasticienne céramiste qui
travaille la faience, le grès, la porcelaine. Elle utilise plusieurs
techniques telles que le modelage, le tournage, le coulage ou
encore I'estampage.
Marcelle Bena sera également présente.
Elle travaille la terre et le tissage et vend ses créations au profit
de l'association Enfants d'Asie.
Jacques Bena, ancien analyste-programmeur
et assistant organisation bancaire et informatique exposera ses céramiques.
Aimé Biache, bercé par le-métal
dendant son enfance soudera les tiges lnox au gré de ses
envies.
Ce salon est I'occasion unique pour les amateurs d'art
de découvrir différentes techniques et divers matériaux.
Entrée libre. A Hagondange, iusqu'au 30 septembre.
Article paru dans le Républicain Lorrain :
le Samedi 25 Septembre 2010 .
Huitième Salon de la Sculpture à Hagondange
Vous avez envie d'un espace de rêve ?
Venez visiter cette exposition à laquelle j'ai la joie de participer.
Hier, j'y suis allée installer mes oeuvres et j'ai eu le plaisir de partager avec René Wiroth , Sculpteur Luxembourgeois, invité d'honneur; un riche moment de coopération à les mettre en valeur. Un vrai bonheur!
Pour lire ces articles, regarder dans :SCULPTURES, la page Salon de la Sculpture d'Hagondange.
Chaque jour,
les artistes présents à ce Salon, sont présentés dans le Républicain Lorrain.
Mon nom est donc mentioné dans ces deux articles.
C'est un plaisir et honneur de pouvoir partager cet espace de rêve où chaque oeuvre a l'originalité de son sculpteur et nous invite à la comtempler...l'apprivoiser ou se laisser apprivoiser par elle...... avec:
René wiroth,Béatrice Allard,mon époux Jacques Béna, Cédric Bonfanti, Aimé Biache, Anne Chiny, Jacqueline Di Benedetto, Françoise Giaroli, Ghislain Richard, Marie France Fattore,Balvine Raoul, René Roesler, Tibo Sommen, May Walter et Gaby Salomon grâce à qui je peux participer , ici, à cette trés belle Exposition.
Prochaine Exposition en septembre .
Je présenterai trois de mes créations
au 8ème SALON de la SCULPURE
du 24 au 29 septembre 2010
à la salle des fêtes de HAGONDANGE.
" Eclosion "
" Nomade "
" Quand Margot dégraphait son corsage "
Et qu'on se le dise !